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Le latin, un enjeu d’avenir

La réforme du collège, qui entre en vigueur dans 3 mois, c’est un million d’heures de latin et de grec en moins pour l’année 2016-2017, qui correspondent à l’économie de 1 500 postes d’enseignants :

1 million d’heures perdues pour le latin et le grec dès septembre » article paru dans la rubrique Les Experts du journal le figaro – avril 2016

Quant à lui le collège La Providence accorde au latin toute l’importance qui lui revient.  L’étude de cette langue structure l’intelligence en lui donnant l’habitude de l’analyse et de la synthèse (aide véritable à la formation scientifique), tout en plongeant l’élève au cœur des racines de notre civilisation et en ouvrant l’esprit à la richesse d’une des plus riches cultures. Elle en outre un auxiliaire irremplaçable de l’orthographe et de la grammaire française. C’est pourquoi, le collège de La Providence fait le choix de l’enseigner dès la classe de 6ème, sous une forme vivante (pour plus d’informations sur cette méthode, consulter le site via-neolatina et en particulier cette page et celle-ci).

Lisez aussi l’article ci-dessous, écrit par Guy Licoppe, médecin radiologue retraité, fervent défenseur du « latin vivant » depuis de nombreuses années, et intitulé « Le latin et le politique, les avatars du latin à travers les âges ».

Il retrace l’histoire mouvementée du latin à travers les siècles, de la chute de l’Empire romain jusqu’à nos jours. Il montre que le latin n’est pas une langue morte et que sa survie, au-delà de son rôle irremplaçable de formation intellectuelle (analyse et synthèse) et culturelle (l’Europe fut d’abord latine), est un enjeu politique.

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